top of page

 

 

Jc Prince, pianiste schizophrène, chante son monde truffé de références aux comics, au cinéma hollywoodien, aux peines d’amour et aux joies du sexe. Entre le jazz, la pop et le rock, ses chansons sont autant d'aventures dans un monde qui hésite en permanence entre le rire et les larmes.

Le tempo frénétique, les textes bien barrés, la présence et le jeu scénique: autant de contrepoints à des titres plus intimes, flirtant avec la poésie.

Que ce soit sur une grande scène ou dans le cadre feutré d’une salle de bain, JcPrince a maintes fois prouvé lors de multiples concerts que rien ne lui faisait peur. Et encore moins de faire chanter le public d’Aldebert ou de Riké dont il a fait la première partie.

 

Elevé au piano classique et au solfège rigoureux d'un conservatoire, ses envies de scènes ont eu raison de son premier job en tant que rédacteur en chef et furieux éditorialiste d'hebdo culturel (le Petit Bulletin pour ne pas le citer) 

Nourri de littérature autant que de comics, de cinéma d’auteur, de séries Z gore, il fraye depuis 10 ans, avec la funk (Stéréo H), illustre des films muets (Duoxenon) ou des courts-métrages (Réaction en Chêne de Luc Serrano), écrème les stations avec des amis DJ's ou son groupe de reprises complètement décalées (Pas Riche Hilton) tout en pondant de temps à autres des textes rageurs sur son blog. Comme si ça ne suffisait pas, il monte en 2016 un trio de musique instrumentale, The French Bastards, où il laisse libre cours à une musique de film imaginaire, trépidante et familière. 

Créateur sporadique et compulsif, il avoue 12 ans après son premier album (JcPrince - Le Trio - 2006), être prêt pour le deuxième. Il était temps.

QUI EST IL ? D'OU VIENT IL ?

bottom of page